François Simon : “Y retournerai-je ?”
…Au sujet du “Y retournerai-je ?” : “ C’est la question que nous nous posons tous à la fin. Ma réponse, positive ou négative, est le fruit d’une hyper-réceptivité, qui tient presque plus d’un défaut que d’une qualité. Je capte tout d’un lieu, l’odeur, le bruit, les vibrations, tout ce que l’on ne voit pas. Je ne peux pas dire que de ce presque défaut j’en extraie une vérité, mais je crois pouvoir dire que je m’en rapproche. Ce qui fait que, au final, il y a des tables où l’assiette est bonne, voire très bonne, mais où je n’ai aucune envie de revenir. Et d’autres où l’assiette n’avait rien d’extraordinaire, mais où j’ai ressenti quelque chose qui me donne envie d’y retourner ”. …
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